Le charme tranquille du Sot l’y laisse

Si Le Baratin de Raquel Carena me rappelle toujours les dimanches à la campagne, Le Sot l’y laisse d’Eiji Doihara m’évoque indéniablement pour sa sérénité les petites villes embourgeoisées de province, un peu oubliées des grands axes routiers, des flux ...